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En 2100, le niveau moyen de l’océan devrait augmenter de 28cm. Cette donnée correspond au meilleur scénario basé sur les estimations du Giec (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat). Ce meilleur scénario voudrait dire que nous sommes parvenus à une nette réduction de nos gaz à effet de serre.
Plus probablement, si nous conservons notre trajectoire actuelle, les experts parlent plutôt d’une élévation de 2 mètres. La montée des eaux est et sera donc un sujet important dans les prochaines années, qu’il faut dès aujourd’hui anticiper. Quelles régions seront touchées ? Quelles côtes exposées ? Comment agir pour garantir un scénario moins catastrophique ? Creusons ensemble ce sujet.
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La montée des eaux est liée à 3 phénomènes, que l’intensité du réchauffement climatique rend plus ou moins importants :
La fonte des glaces et des calottes polaires, notamment au Groenland. Pour vous donner une idée, la montée des eaux liée à la fonte des calottes à été multiplié par 3 en 20 ans.
L’effet stérique : quand la température de l'eau monte, sa densité diminue et le volume augmente.
La fonte des glaciers terrestres.
La montée des eaux entraîne plusieurs phénomènes sur terre comme des inondations, un recul du trait de côte et donc une plus forte récurrence des vagues de submersion. On pourrait aussi voir disparaître certains territoires côtiers et d’îles.
Les villes côtières et les ports impactés par la montée des eaux en France sont nombreux :
Les territoires d’outre-mer
Rien qu’en Normandie, 428 communes sont menacées par la montée des eaux, indique un article de We Demain. La montée des eaux attaque déjà le pied des falaises à Etretat par exemple, explique Denis Lacroix, le délégué à la prospective auprès de la direction générale de l'Ifremer. À certains endroits, l’eau qui monte pourrait rester définitivement, comme par exemple dans la commune des Saintes-Maries-de-la-Mer, qui pourrait devenir une presqu'île. Entre le recul de la côte, l’érosion du littoral, l’abaissement des plages… Les jolis étés à Lacanau pourraient bientôt n’être plus qu’un souvenir.
Mieux vaut prévenir que guérir ? Si on parle d’écologie, on parle aussi d’économie et de tout un système qui assure notre confort de vie en France aujourd’hui. L’argent qui ne sera pas investi aujourd’hui dans des projets de lutte contre le réchauffement climatique, le sera, et de manière démultipliée dans les prochaines années.
Les catastrophes qui en découleront auront en effet un impact direct sur l’économie. Le Havre, Dunkerque ou encore Toulon sont par exemple des ports stratégiques en France, au cœur du commerce international qui pourraient être lourdement impactés par la montée des eaux. Les vagues de submersion généreront aussi de gros dégâts dans les villes côtières et impacteront directement les commerces et le tourisme. Les inondations du Var en 2010 avaient par exemple coûté plus de 700 millions d’euros aux assureurs. Dans les prochaines années, l’augmentation de telles catastrophes pourraient ainsi grandement augmenter le coût de nos assurances.
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Les personnes vivant dans des maisons proches du littoral seront les plus touchées par ce phénomène et seront amenées à être relocalisées en cas d'inondation ou de submersion.
L’agglomération des Sables-d’Olonne interpelle déjà des habitants, comme ceux de l’Aubraie, qui ont reçu un courrier fin janvier 2023, pour être tenu au courant des risques liés à la montée des eaux (En savoir plus dans cet article du Ouest France). Thibault Laconde, ingénieur spécialiste des risques climat, a d’ailleurs mis en place un outil gratuit en ligne, pour mesurer l’éventuelle submersion de son bien immobilier en France dans les prochaines années.
Nous préférerions être apporteurs de bonnes nouvelles, mais les faits sont là, déjà visibles… Notre situation ne sent pas la rose ! Alors comment on fait, à son échelle, pour agir et faire sa part ?
Stopper la montée des eaux est certes idéaliste. En revanche, chaque citoyen à le pouvoir de diminuer l’intensité de cette montée, en agissant sur la réduction des gaz à effet de serre. Il y a plusieurs manières d’agir, d’impacter, de voter : par le choix d’une alimentation locale et/ou biologique, d’une énergie provenant d’un fournisseur d’électricité verte, de recycler et réutiliser des biens matériels, par une réduction de la prise de certains transports très carbonés comme la voiture ou l’avion, par le fait de demander quelques jours de télétravail à votre boîte pour éviter de trop vous déplacer… Bref, les actions sont nombreuses, et celle dont on vous parle chez helios, c’est l’action financière ! C’est notre cheval de bataille.
Quand vous placez votre argent sur votre compte bancaire, dans votre banque, il ne dort pas. Il est ré-investi en permanence et pas particulièrement dans des projets faisant baisser les émissions de C02. En effet, les 3 plus grosses banques françaises ont par exemple investi plus de 350 milliards de dollars aux énergies fossiles depuis 2015, nous rendant complices de l'inaction climatique.
helios est une alternative bancaire écologique dans laquelle on vous propose de placer votre argent, qui sera uniquement réinvesti dans des projets à impact social ou environnemental. Le financement des énergies fossiles est écarté ainsi que d’autres secteurs dont les activités sont très nocives pour l’environnement. En plaçant votre argent chez helios, vous pouvez par exemple participer à la création d’une centrale photovoltaïque, une alternative à la production de protéines animales ou encore la modernisation d’une station d’épuration.
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La montée des eaux en France représente une menace croissante due au changement climatique. Voici quelques chiffres pour mieux comprendre l’ampleur du phénomène :
Selon un article rédigé par Reporterre, en France, l’équivalent d’un terrain de football disparaît chaque semaine avec la progression des océans
Selon les données du Gouvernement, le niveau de la mer pourrait augmenter de 26 à 82 centimètres d’ici 2100
Selon le ministère de la Transition écologique, plus de 16,8 millions de personnes en métropole vivraient dans des zones à risque d'inondation
D'après un rapport de l’organisation scientifique Climate Central, plusieurs villes françaises pourraient être en grande partie submergées d'ici 2050 (La Rochelle, Rochefort et Marans, etc.)
Selon l’ONU, près d’un milliard de personnes dans le monde pourraient vivre d’ici 2050 dans des zones côtières menacées par la montée des eaux et les épisodes de submersions marines lors des tempêtes
À retenir : Ces chiffres rappellent l’urgence d’adopter des mesures pour limiter les émissions de gaz à effet de serre et protéger les littoraux français (et les littoraux au sens large, dans le monde).
Rien de mieux qu’un visuel et une projection pour comprendre le sujet.
L'institut de recherche américain Climate Central a ainsi créé une carte du monde sur laquelle on peut voir les zones menacées en cas de montée des eaux de 1 mètre. Avec cet outil, vous pouvez d’ailleurs ajuster le curseur de la montée des eaux et voir ce que ça donne en France métropolitaine et dans le monde. On voit ici que certaines zones sont particulièrement à risque : la Camargue, Bordeaux, La Rochelle, le Parc Naturel du Marais Poitevin ou encore Noirmoutier et ses environs.
En France, certaines zones seront particulièrement touchées :
Les littoraux atlantiques et méditerranéens : Les régions côtières, comme la Nouvelle-Aquitaine et l’Occitanie, sont exposées à la montée des eaux et à l’érosion.
Les grandes vallées fluviales : La vallée de la Seine, la Loire et le Rhône pourraient connaître des crues plus fréquentes.
Les territoires insulaires : La Corse et les départements d’outre-mer font face à des risques accrus liés aux tempêtes et à la montée des eaux.
Pour réduire les risques liés aux zones inondables en 2050, plusieurs stratégies sont nécessaires :
Planification urbaine : Limiter la construction dans les zones à risque grâce à des politiques d’aménagement adaptées.
Renforcement des digues : Protéger les littoraux et les rivières avec des infrastructures résistantes.
Sensibilisation des populations : Former les habitants aux risques et aux mesures à adopter en cas d’inondation.
Transition écologique : Réduire les émissions de gaz à effet de serre pour limiter le réchauffement climatique.
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