T-shirts à 5 €, nouvelles collections chaque semaine, soldes permanentes… La fast fashion est partout, et l’offre est alléchante. Le problème ? On consomme trop. Beaucoup trop. Une récente étude révélait que 3,5 milliards d’articles d’habillement, chaussures et linge de maison neufs ont été achetés en 2024, soit une moyenne de 42 pièces par Français. Un (triste) record.
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Parce que oui, les impacts sont lourds : pollution massive, conditions de travail déplorables, gaspillage textile. Pourtant, de nombreuses marques continuent d'en tirer profit. Quelles sont les marques fast fashion à éviter ? Pourquoi sont-elles problématiques ? Par quelles alternatives responsables les remplacer ? On vous dit tout.
La fast fashion (ou mode rapide) désigne un modèle de production et de consommation de vêtements basé sur
La production en masse à faible coût
Le renouvellement très fréquent des collections (parfois toutes les semaines)
Des prix très bas, qui encouragent à acheter, porter peu… et jeter vite
Ce modèle repose sur l’exploitation des ressources naturelles, des travailleurs et des consommateurs, au détriment de la planète et des droits humains.
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Certaines enseignes sont particulièrement critiquées pour leur rôle dans ce système, en raison
De leurs pratiques de surproduction et de surconsommation
Des conditions de travail précaires dans leurs usines sous-traitantes
Du greenwashing, en se prétendant écologiques sans réelle action
D’un impact environnemental massif (pollution, déchets, consommation d’eau)
Astuce pour les repérer : Les marques fast fashion à éviter sont souvent celles qui produisent vite, pas cher, sans transparence ni respect des limites planétaires.
La fast fashion, ou mode jetable, a des impacts majeurs tant sur l’environnement que sur le plan social.
En 2025, l’industrie textile est responsable de 10 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, soit plus que les émissions combinées de tous les vols internationaux et du trafic maritime. Elle consomme également 141 milliards de mètres cubes d’eau par an et contribue à 35 % des microplastiques retrouvés dans les océans, principalement issus du lavage des vêtements synthétiques.
Chaque année, les citoyens européens jettent en moyenne 11 kg de textiles, soit un total de 5 millions de tonnes, dont 80 % finissent incinérés ou enfouis, aggravant la pollution et le gaspillage des ressources.
Sur le plan social, l’industrie emploie 75 millions de personnes dans le monde, mais les conditions de travail restent souvent précaires : salaires de misère, exploitation des enfants et des femmes, et exposition à des produits chimiques toxiques sont monnaie courante, notamment dans les pays en développement où la majorité de la production est délocalisée.
Encensée par de nombreux influenceurs, la marque fait pourtant beaucoup de mal autour d’elle. Elle est “l’une des seules marques de fast fashion qui ne publie absolument rien sur sa chaîne de production” rappelle l'eurodéputé Raphaël Glucksmann, très engagé dans la lutte contre l’exploitation des Ouïghours en Chine, une minorité musulmane chinoise, placé dans des « camps de rééducation » depuis 2017.
Qualité : 1 sur 150 milliard de vêtements : c’est ce que produit la marque dans le monde chaque année. À ce rythme, ce n’est plus de la fast fashion mais de l’ultra fast fashion. Non seulement la quantité de vêtements produits est faramineuse, mais ceux-ci sont aussi de mauvaise qualité, en grande majorité composés de matières pétrochimiques.Ils n’ont d’autre part aucune valeur en seconde main et ne sont pas recyclables. L’analyse de mai 2023 des Amis de la Terre révèle que la marque chinoise propose en moyenne 900 fois plus de produits qu’une enseigne française traditionnelle.
Pollution : L'historienne Audrey Millet, indique dans une interview pour le média Brut que “des analyses chimiques ont mené à la conclusion que les vêtements de Shein contiennent des produits chimiques dangereux pour la santé, comme du plomb et de l’arsenic, notamment dans des vêtements d’enfants.” Aussi, pour la plupart, ces vêtements, de mauvaise qualité seront jetés et finiront dans des décharges à ciel ouvert où ils pollueront les eaux.
Travailleurs : 7€ pour un article, c’est cool, pas cher ! C’est en fait le coût des jeunes filles exploitées pour transporter d’énormes balles de déchets de vêtements sur leurs têtes, payées 3 dollars par jour. Certaines meurent le cou brisé, indique le média The good goods.En Novembre 2021, l’ONG Suisse Public Eye a d’ailleurs publié une enquête sur les conditions de travail de certains des fournisseurs de Shein. Sa conclusion ? La plupart des travailleurs viennent des provinces les plus pauvres de Chine, travaillent 12 heures par jour, avec 1 jour de repos par mois.
Greenwashing : En 2023, Shein a donné 15 M$ à une ONG africaine qui gère les conteneurs de vêtements occidentaux. Une somme censée participer à la structuration de la gestion des déchets textiles, alors que le pays en reçoit 160 tonnes par jour. Or pour tout ce qu’on a cité au-dessus, c’est du greenwashing à l’état pur. Ce que The good goods approfondi en détails dans un article, décrivant l’hypocrisie de la marque, qui en réalité, impact négativement l’économie locale via son business.
En 2025, Shein continue de surfer sur le greenwashing. Au-delà des visuels et des textes mis en avant sur son site internet (ex: “our products, our planet”), la marque tente désormais de déguiser son greenwashing en militantisme. Et elle ne fait pas semblant : site internet dédié, campagne d’affichage, lobbying, etc. Elle prône ainsi une “mode qui ne serait pas réservée qu’aux riches” et se positionne ainsi en faveur des revenus les plus pauvres… Alors que la production repose sur l’exploitation d’ouvriers et ouvrières au bout du monde. Bref, plus c’est gros, plus ça passe.
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Comme C&A, elle fait partie des grandes enseignes impliquées dans le scandale de l’effondrement du Rana Plaza en 2013.
Qualité : Moralscore ayant analysé la marque, ses produits, sauf quelques modèles, seraient majoritairement de mauvaise qualité. Les avis clients indiquent aussi que les vêtements ne tiennent pas au lavage ou se détériorent rapidement dans le temps.
Pollution : Les vêtements de l'entreprise sont fabriqués en Asie et en Europe, ce qui a un impact significatif sur les émissions de CO2 liées au transport de très longue distance entre l'usine et le lieu de vente. Des produits nocifs auraient aussi été utilisés pour produire certains vêtements. L'entreprise a enfin collecté et recyclé 20 649 tonnes de vêtements, mais elle est accusée de brûler ses invendus à hauteur de plusieurs tonnes chaque année.
Travailleurs : Certains des fournisseurs d’H&M faisaient travailler des prisonniers Ouïghour. La marque avait alors cessé en 2020 de travailler avec ces fournisseurs.
Greenwashing : En 2020, la chaîne de prêt-à-porter a été accusée de greenwashing avec sa campagne “conscious”, lancée en 2011. Censée promouvoir des vêtements durables, la plupart de ces vêtements étaient en réalité fabriqués à partir de matières synthétiques, et non durables. Valerie Gramond, fondatrice de Green Lobby, met également en doute, dans un article dédié, l’honnêteté de la marque avec sa campagne “Bottle2fashion”, véhiculant le slogan “nettoyons les océans”.
Cette marque qui pousse à la consommation, en tendant à ses clients un grand sac cabas à remplir dès leur entrée dans le magasin ? Et oui, c’est Primark…
Qualité : Comme pour H&M, Moralscore indique que l’entreprise propose des produits de mauvaise qualité dans l’ensemble et que les vêtements ne tiennent pas au lavage, ou se détériorent vite.
Pollution : Les vêtements de l'entreprise sont fabriqués au Bangladesh, et en Chine, ce qui a un impact significatif sur les émissions de CO2 liées au transport de très longue distance entre l'usine et le lieu de vente.
Travailleurs : Il y a un vrai manque de transparence de Primark, notamment sur les conditions de travail des ouvriers en Inde. En 2008, une enquête de la BBC avait révélé que des sous-traitants de Primark faisaient travailler des enfants en Inde. La marque avait alors cessé ses engagements auprès de ses fournisseurs. Mais cela pose question sur le suivi et le contrôle de ce qu’il se passe dans sa propre organisation. En France, son modèle épuise aussi les salariés, comme le raconte par exemple cet ex-salariée d’un magasin de Marseille, dans un article de l’OBS : "J’ai travaillé à plein temps dans la restauration, un secteur réputé difficile, et pourtant, je n’ai jamais été aussi fatiguée que lorsque j’étais employée à temps partiel chez Primark.” Le journaliste Laurent Morel dans son enquête L’enfer Primark, avait d’ailleurs récolté d’autres témoignages de ce genre illustrant la déshumanisation du travail au sein des magasins.
Greenwashing : La marque de fast-fashion PRIMARK promet des engagements sociaux et environnementaux pour 2030. Engagement sincère ou simple greenwashing ? Cela reste à voir.
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Marque de mode appartenant au groupe Inditex, elle était impliquée dans le scandale de l’effondrement du Rana Plaza en 2013…
Qualité : On retient cette conclusion de Bonne Gueule, média spécialisé dans la mode masculine, après avoir fait un état des lieux de la marque : “Zara est au vêtement ce que McDonald's est à la nourriture : il y en a partout, on est tenté d'y faire un tour mais on n'est jamais vraiment rassasié quand on franchit le pas.” Les matières sont le plus souvent du polyester, de l’acrylique, du polyamide… bref des dérivés du plastique.
Pollution : Les vêtements de l'entreprise sont fabriqués en Espagne, Portugal, Italie, Maroc, Turquie, Roumanie, Chine, Thaïlande, Inde, Bangladesh, ce qui a un impact sur les émissions de CO2 liées au transport d'assez longue distance entre l'usine et le lieu de vente. Et puis qui dit plastique dans les vêtements, dit aussi, rejet de micro plastiques dans les océans lorsqu’on passe les vêtements Zara à la machine à laver.
Travailleurs : En 2010, des grèves violentes ont éclaté dans les usines sous-traitantes de Zara au Bangladesh il y a plusieurs années réclamant des hausses de salaire plus importantes. L'une des usines fabriquant les vêtements de la marque espagnole avait aussi brutalement fermé en 2017, laissant 140 ouvriers avec trois mois de salaire impayés. En juillet 2019, l’enseigne avait aussi été accusée de bénéficier de la mise en esclavage des Ouïghours pour produire ses vêtements, notamment par l’euro député Raphaël Glucksmann, qui rappelle la possible implication de Zara en 2020 sur ce post instagram.
Greenwashing : En 2023, l’enseigne appartenant au groupe Inditex sa plateforme de seconde main entre particuliers en France, Zara Pre-owned. L’idée ? revendre en ligne ses vêtements de la marque, en acheter, les faire réparer ou en faire don. À première vue, la démarche paraît plutôt bonne, d’autant plus que Zara a pour but d’atteindre la neutralité carbone d’ici à 2040. Sauf que… En parallèle, la marque continue de produire toujours plus d’articles et de nouvelles collections (et le problème vient bien de là). Pour changer les choses, il faut changer le cœur du business, produit moins mais mieux. Par ailleurs, le nouveau service de seconde main et de revente apparaît sur le même site internet que la collection principale. Autrement dit ? Cela crée un flou entre les produits neufs et de seconde main.
Voici une liste de marques identifiées comme les plus problématiques selon plusieurs ONG et rapports (Clean Clothes Campaign, Fashion Revolution, Good On You)
Shein : symbole de l’ultra fast fashion, des milliers de nouveaux produits par jour, production opaque et polluante.
Zara (Inditex) : pionnier du modèle fast fashion avec renouvellement permanent des collections.
H&M : malgré ses engagements "conscious", la marque reste l’un des plus gros producteurs mondiaux.
Primark : prix cassés, opacité sur les conditions de fabrication.
Boohoo : scandales à répétition sur les conditions de travail au Royaume-Uni.
PrettyLittleThing : filiale de Boohoo, accusée de sous-payer ses ouvriers.
Forever 21 : surproduction, mauvaise qualité, manque total de transparence.
Fashion Nova : très populaire sur les réseaux, mais production massive et opaque.
C&A : encore peu d’engagements concrets malgré une présence massive.
Urban Outfitters : tendance greenwashing, production rapide, peu de transparence.
Ces marques sont à éviter en priorité si vous souhaitez réduire votre empreinte environnementale et sociale.
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Afin de lutter contre l'ultra fast-fashion, les députés français ont adopté à l'unanimité une loi pour réduire l'impact environnemental de l'industrie textile. Cela fait de la France le premier pays au monde à légiférer sur ce sujet d'après le Ministre de l'Ecologie Christophe Béchu.
Plus concrètement, ce texte fonctionnera sur un système de bonus-malus pour intégrer des critères environnementaux dans le prix payé par le client. Ainsi, la pénalité pourrait atteindre jusqu'à 50% du prix de l'article (en hors taxe) afin de freiner les envies compulsives d'achats sur certains produits vraiment peu chers. Les pénalités devraient augmenter au fil du temps : si en 2025 la pénalité maximum par article sera de 5€, elle atteindra 10€ en 2030. Ces pénalités seront reversées à des acteurs de la filières textiles qui ont une démarche vertueuse pour l'environnement pour les encourager à ce développer.
Le deuxième axe majeur de cette loi est l'interdiction pour les entreprises d'ultra fast-fashion de faire de la publicité sur le territoire français. Tous les types de publicités sont visés : affiches, publicités en ligne, influenceurs, ... afin de réduire le potentiel de communication de ces entreprises polluantes. Au contraire, les marques devront afficher des messages pour sensibiliser à l'écologie sur leurs points de communication.
Le 17 mars 2025, un an après son adoption à l’Assemblée Nationale, le texte est passé en Commission développement durable au Sénat. Résultat ? De nombreuses associations dénoncent un texte moins ambitieux et non adapté à la hauteur des enjeux.
Aperçu de quelques articles amendés
La définition des “entreprises relevant de la fast-fashion” (seul le nombre de modèles mis en vente - et non de produits - a été retenu)
Une exclusion des plateformes multimarques (Asos, etc.) et des entreprises françaises et européennes (Zara, Kiabi, H&M, etc.)
Les seuils de mise en vente devront par ailleurs être déterminés par décret (le risque que ces derniers ne sortent jamais)
Le système de bonus-malus disparaît et est remplacé par des pénalités associées à des "pratiques industrielles et commerciales". Le problème ? Ces dernières ne sont pas clairement définies.
La disparition de l’article interdisant aux marques fast fashion de faire de la publicité
Pour plus d’informations, consultez l’article très complet de Novethic intitulé sur cette loi anti fast-fashion.
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C’est une question délicate.
Dans un monde idéal… Il n’y aurait que des marques engagées proposant des produits de qualité, fabriqués dans de bonnes conditions (au niveau à la fois humain mais aussi environnemental) et vendus à prix abordables. Mais pour cela, il faudrait des réglementations claires et des politiques strictes.
En attendant, la principale limite évoquée est celle du prix (et donc de l’accessibilité). Chez helios, nous pensons qu’interdire la fast fashion serait bénéfique pour tous (économie locale, sensibilisation du grand public, achats plus cohérents, etc.). En attendant, voilà quelques pistes pour acheter garder un dressing au top sans vous ruiner :
N’acheter que l’essentiel
Privilégier les pièces utiles et durables
Acheter moins souvent, même dans ces enseignes
Laver et réparer ses vêtements pour les faire durer
Donner ou revendre ses habits plutôt que de jeter
Acheter de seconde main
À retenir : Même sans boycott complet, il est possible d’adopter une consommation plus consciente, à son rythme.
Heureusement, de nombreuses marques émergent pour proposer une mode plus éthique, durable et transparente
Labels à privilégier : GOTS, Fair Wear Foundation, OEKO-TEX, B Corp…
Marques responsables connues : Armedangels, Veja, Loom, Hopaal… Vous pouvez les retrouver chez notre partenaire Wedressfair (et si vous êtes client helios, vous bénéficierez automatiquement d'une remise Tous Consom'acteurs)
Vêtements de seconde main : Vinted, Le Bon Coin, friperies locales
Upcycling et couture locale : de plus en plus de créateurs revalorisent les textiles
L’idée n’est pas de ne plus consommer, mais de mieux consommer : acheter moins, de meilleure qualité, et faire durer.
Mettez de côté sans y penser
Ces 4 exemples sont une illustration des impacts négatifs de la fast fashion ! On a cité 4 pour apporter en détails les dérives de ces marques, mais bien sûr, il y en a plein d’autres. Après tout ça, il y a de quoi être découragé. La bonne nouvelle ? Il est possible d'aimer la mode et de consommer responsable !
Pas cher, pas cher : la seconde main que vous pouvez trouver en friperie, chez Emmaüs, en vide dressing ou encore via les sites de WeDressFair et d’OMAJ (qui sont disponibles à travers le programme de fidélité durable : Tous Consom’acteurs ! ).
Super quali : les marques françaises qui privilégient une production locale comme Hopaal dont la confection d’une partie de ses vêtements est réalisée en France et une l’autre au Portugal. Il y a aussi Ecclo, marque dont la fabrication est 100% française. Wedressfair a d’ailleurs dressé une liste de 29 marques Made in France par ici. Certes ces marques ont souvent un certain prix, car les coûts de fabrication sont plus onéreux, mais les personnes qui les fabriquent sont aussi mieux rémunérées.
Et puis, l’idée est plutôt d’investir dans des vêtements de qualité, qui durent, intemporels, sans avoir besoin d’en accumuler par dizaines. Non seulement le slow wear est à la mode, mais ça fait un bien fou !
Tournez-vous vers les marques de mode dont les chaînes de production sont basées sur l’économie circulaire ou des matières plus responsables comme le coton biologique, les matières naturelles, véganes, recyclées certifiées par des labels sérieux... Pour en savoir plus sur ces démarches d'éco-conception, rendez-vous ici !
Enfin, vous pouvez aussi privilégier les réparations dans vos vêtements existants pour les faire durer le plus longtemps possible. Par exemple, au sein du collectif Tous Consom'acteurs! vous pouvez faire appel à notre partenaire Tilli afin de faire venir chez vous un cordonnier, un couturier ou un maroquinier et entretenir votre garde-robe à moindre coût. Et pour vous aider à passer le cap, en payant avec votre carte helios, vous bénéficiez d'un petit coup de pouce !
Pour aller + loin : Que faire de ses vieux vêtements ?
Éviter les marques fast fashion, c’est agir à son échelle contre un système destructeur. Cela demande un peu d’effort, mais les bénéfices sont multiples : respect de la planète, du travail humain, qualité des vêtements… et fierté de consommer en accord avec ses valeurs.
Sources :
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